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PopCorn Garage et ses 66 références de film à reconnaître

PopCorn Garage jeu en ligne référence cinéma

Priska et Romain Zitouni ont lancé un jeu en ligne super sympa : PopCorn Garage. 66 références à des films que vous êtes censés connaître se cachent dans un garage bordélique. Vous devez entrer les titres des films, et n’avez le droit qu’à trois erreurs.

Je bloque à 39. Et comme je suis plutôt cool, je peux vous dire qu’il n’y a pas Mad Max. Débrouillez-vous avec ça.

http://www.popcorngarage.com/

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Printemps du cinéma chargé

3 jours à 3,50€ : 3 films. Dont il convient de faire une rapide revue, ne serait-ce que pour justifier la visite des quelques dizaines d’internautes chaque jour, et pour surcharger encore un peu mes lignes de temps Facebook et Twitter.

Big Eyes / Selma / The Voices

Big Eyes : le dernier Tim Burton, pourtant très peu axé fantastique. C’est plus sur les couleurs et les plans larges d’extérieur qu’on sent qu’il était derrière la caméra. Big Eyes c’est une belle petite histoire. Trop réaliste (et historique d’ailleurs) pour être un conte, pas assez intense pour être le drame d’une vie, c’est une balade dans le San Francisco des années 60 avec une trame de fond suffisamment solide pour qu’on reste captivé pendant l’heure quarante qui sépare le début de la fin.

Selma : celui qui retourne un peu l’estomac si on est sensible aux grandes causes. Tout le monde connait Martin Luther King. Mais les ignares comme moi connaissent peu les événements qui ont conduit au fameux I have a dream. Le film s’attarde sur l’épisode Selma, petite ville d’Alabama dans laquelle les Noirs ne peuvent s’inscrire sur les listes électorales, alors qu’ils en ont légalement le droit, à cause d’un shérif campé sur ses positions sudistes racistes. Et la violence y est dépeinte avec un réalisme qui accroît son intensité : on a mal pour eux, on se demande comment ils acceptent de continuer le combat, et surtout dans la non-violence. Vraiment à voir. Petit plus : le rappeur/acteur Common joue dedans (et chante Glory avec John Legend dans le générique).

The Voices : le film complètement barré. Je connaissais Marjane Satrapi pour Persepolis, elle s’amuse ici dans un tout autre registre. C’est à la fois dramatique, drôle, violent et absurde. Entre les répliques du chat et du chien, l’innocence (relative) du personnage principal et l’histoire qui fait peur, on s’éclate en mettant de côté toute réflexion. Comme un tour de grand huit, c’est court et intense (comme d’autres choses aussi…). Et ça vaut le coup !

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Very American Sniper

Cela faisait longtemps que j’avais écrit mes notes sur le film et que je voulais écrire cet article. Etant persuadé que les Internets ressentaient un manque sans mon avis.

affiche film American Sniper

(c) Allocine.fr

Jouons la court (donc long, vous en avez l’habitude).

Le film est bon, on ne s’ennuie pas, et on ressort avec l’impression de ne pas avoir perdu son temps.

Par contre, j’ai été surpris. Surpris car je ne m’attendais pas à cela venant de Clint Eastwood. Dans la plupart de ses films, j’avais toujours réussi à retrouver quelque chose d’universel. Soit du grandiose (sorte de catharsis un peu à la manière d’un super-héros qui viendrait de sauver le monde) : Gran Torino, Invictus ; soit de l’humain, du brut de vécu : Jersey Boys, J. Edgar.

Celui-ci est en fait un peu entre les deux. Mais me semble surtout plus américain. Il y a une sorte d’éloge du soldat américain, de fierté de son armée, de fierté de son pays, qui ne marche pas avec moi. Je ne suis pas fier de nos soldats, j’en suis reconnaissant. Je ne ferai pas (et n’ai pas fait jusque là) de deuil, de commémoration pour des soldats qui seraient morts lors de conflits en Irak ou en Afrique. Pour autant je suis très bleu-blanc-rouge et j’ai assisté à plusieurs cérémonies du 11 Novembre et du 8 Mai.

J’ai peut-être aussi été moins touché parce que cet homme (Chris Kyle), est surtout représenté comme un tueur d’élite : un mec qui a tué, tué et tué. Les dernières images (désolé de spoiler) qui sont en fait tirées de vrais reportages télé sur ses hommages, me confortent dans le cliché que j’ai des Américains missionnés pour sauver le monde. Je me suis même demandé si le film n’était pas en fait une critique de cela : trop gros pour être vrai, trop gros pour être cautionné.

Ces gens ont-ils adoré Chris Kyle pour les gens qu’il a tués, ou pour ce qu’il a fait après son retour de guerre (et dont on n’entend presque pas parler dans le film) ?

C’est parce que je n’ai pas pu répondre à cette question, ni pendant le film, ni à la fin, et parce que les scènes d’actions m’ont un peu trop rappelé la Chute du Faucon Noir, que je n’ai pas été pleinement satisfait par ce dernier Clint Eastwood.

Moins bon que d’habitude, mais toujours sympa.

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Le vrai trailer officiel de Star Wars 7 : The Force Awakens

Après la sortie du trailer de Jurassic World, c’est le dernier opus de la saga Star Wars qui fait parler de lui (bien qu’il ne sorte que pour Noël 2015). Et alors que beaucoup de parodies ou fakes circulent, le trailer officiel, posté par le compte officiel de Star Wars, c’est celui-ci 🙂

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Le trailer officiel de Jurassic World

Après les Pompes à Vélo, c’est au tour du trailer officiel de Jurassic World (oui, oui, la suite de Jurassic Park) de sortir.

On va bien s’amuser.

VO

VF

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