Non pas que je sois passé dessus en coup de vent, j’aurais trop peur qu’elle sorte un livre sur moi.
Voilà, c’est de ça qu’il est question, de son dernier livre, qui livre (un livre qui livre…) quelques anecdotes sur sa vie à l’Elysée. Je ne l’ai pas lu et ne compte pas le lire.
Je m’étonne simplement qu’on puisse donner tant d’importance à l’oeuvre d’une femme qui s’est faite cocufier par le Président et qui est retombée dans l’anonymat aussi vite qu’elle l’avait quitté. Le monde (enfin surtout la France) s’émeut de l’utilisation par Hollande de « sans dent » pour désigner les pauvres. Il a sûrement dû utilisé l’expression trois fois dans un couloir pour rigoler, dans le cadre privé de sa vie privée. Forcément, la Trierweiler pleine d’amertume s’est jetée dessus comme la famine sur le tiers monde.
On ne devrait même pas y faire attention. On devrait la laisser au monde auquel elle appartient : l’anonymat le plus complet. J’ai bien conscience par conséquent que cet article ne joue pas en ma faveur, mais je ne suis plus à une incohérence près.
là où elle appartient ? joue pas en faveur ? M’enfin remet les doigts dans la prise !! prêt ? 😉
J’ai écrit un peu vite
ce qui m’a fait sourire c’est l’angliche sous-jacent : where she belongs. Chez Djefbernier aussi on écrit vite, c’était pas une pierre . Au plaisir
Ouh là, t’es pour Flamby toi maintenant ???
Non. Mais encore moins pour ce genre de personnage qui s’incruste à l’Elysée et balance dans un livre des anecdotes privées pour déstabiliser un président. Elle n’est personne. Qu’elle le reste. Qu’elle ne croit pas intéresser la France.