Tout a commencé lors du traditionnel jus d’orange de ce matin, lorsqu’on sent la pulpe (parce qu’il y a de la pulpe dans un bon jus de fruit) caresser le palais et libérer son divin nectar lorsqu’on la croque amoureusement (c’est érotique de boire un jus d’orange).
Ce n’était pourtant pas la réjouissance que le débat de la veille ait mal tourné entre les candidats à la primaire socialiste, je ne l’ai pas regardé (Corto l’a fait).
Il y avait un quelque chose de vitalisant dans les rayons du soleil qui frappaient ma fenêtre bien (trop) exposée, une sorte de joie volatile dans l’air encore frais et même l’eau du robinet, pourtant si plate d’habitude, avait ce pep’s qui faisait d’aujourd’hui un jour si différent.
La réponse, je l’ai eue grâce à Google. Nous fêtons aujourd’hui le 118ème anniversaire d’Albert Szent-Görgyi, ce scientifique hongrois prix Nobel pour avoir découvert la vitamine C et les flanovoïdes.
Et ça, ça donne la patate !